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HYDRIQUE
ÉNERGETIQUE
CONSTRUCTION
ALIMENTAIRE
Autonomie
HYDRIQUE
L’eau est une ressource vitale et essentielle à la vie quotidienne d’une famille. Assurer son autonomie hydrique, c’est garantir un accès permanent à une eau propre et de qualité, indépendamment des réseaux publics. Comment la capter, la stocker, la filtrer, la traiter, la distribuer.. Chacune des étapes est critique et complexe, et c’est pourquoi cela nécessite la mise en place de solutions adaptées et maîtrisées que le concept agronomie.fr démontre et explique.
Autonomie
ÉNERGETIQUE
L’autonomie énergétique permet à une famille de produire et consommer sa propre énergie, réduisant ainsi partiellement ou totalement sa dépendance aux réseaux traditionnels. En apparence simple, ce domaine de l’autonomie demande de bien comprendre les concepts fondamentaux pour mettre en place une solution sur mesure, fiable et abordable.
Autonomie
CONSTRUCTION & HABITAT
L’autonomie en habitat repose sur la construction de maisons durables en bois de Guyane, en utilisant des matériaux issus de l’agroforesterie. La reconnaissance des essences locales tels que l’Angélique, le Goupil, et autres bois “rouges” permettent de bâtir des structures solides et écologiques, tout en valorisant les ressources disponibles sur la parcelle..
Grâce à des techniques simples de menuiserie et d’assemblage, il est possible de construire soi-même son habitat. En intégrant des principes bioclimatiques, sa maison offre confort, efficacité énergétique et indépendance, tout en restant respectueux de l’environnement.
Autonomie
ALIMENTAIRE
Les produits et modèles agroalimentaires importés ne s’appliquent pas sur le territoire pour de nombreuses raisons. L’autonomie alimentaire en Guyane repose essentiellement sur le développement d’une agriculture locale, résiliente et adaptée aux conditions tropicales.
L’agriculture syntrophique, inspirée des écosystèmes naturels, permet de régénérer les sols tout en produisant une grande diversité d’aliments. En associant arbres, arbustes et cultures vivrières sur une même parcelle agricole, cette approche favorise la fertilité des sols, réduit l’érosion et optimise l’utilisation des ressources naturelles. Elle permet ainsi de cultiver des espèces locales comme le manioc, l’igname, la banane plantain, sans dépendre d’intrants chimiques.
